Dans une série de tweets, le maire démissionnaire de Saint-Brevin-les-Pins assure que « l’État n’a pas été à ses côtés » lorsqu’il recevait les menaces de militants opposés à l’accueil des migrants et jusqu’à l’incendie criminel de son domicile

Vous devez vous connectez pour consulter, noter cet article !

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous gratuitement sur Floneo.fr

Mot de passe oublié

À lire aussi